Héritier indirect des performeurs qui, dans les années 60, descendent dans la rue pour combattre l'architecture déshumanisante des mégapoles américaines, le chorégraphe autrichien Willi Dorner se souvient ainsi que la portée poétique du mouvement peut réveiller les sens latents et la face cachée des cités qu'il arpente.






Une initiative à valoriser d'autant plus qu'elle s'adresse particulièrement à un public de sourds et malentendants puisque le spectacle est essentiellement visuel.